Le rock critic du jour a la réputation d’être un spécialiste des musiques électroniques. Inutile de nous tomber dessus, on a conscience du coup du caractère ultra réducteur du terme « critique rock ». Mais bon… Peu importe l’étiquette, ce qui compte c’est le produit. Et avec Olivier Lamm, on ne devrait a priori pas être déçu. Son CV ? Des passages plus ou moins longs chez CODa, Chronic’art, The Drone et donc… Libé où l’on imagine que l’ombre de Bruno Taravant, alias Bayon, plane encore chaque jour sur les journalistes « musique » du journal.